Ne pas se faire ddos !

Statut
N'est pas ouverte pour d'autres réponses.

Valentin'

Ancien pseudo : Monkey D. Luffy
Premium
Inscription
6 Août 2012
Messages
303
Réactions
64
Points
19 723
RGCoins
25
En 2 mots
Appliquez tous les correctifs connus aux failles de sécurité avec (ou pour l'entreprise)
Appliquez les mises à jour de tous les logiciels installés ( - en vous tenant informé 1 fois par mois).
Installez et exécutez
Installez et exécutez
Installez et exécutez
Fermez les ports critiques et désactivez les services critiques avec .
Changez tous vos mots de passe

Pour aller plus loin
En plus de ce qui précède, naviguez avec en remplacement de l'infâme (le générateur de failles en flux continu par qui tout le mal (ou presque), sur l'Internet, arrive).
Interdisez à Internet Explorer et à l'Explorateur de Windows tout accès à l'Internet (règle dans votre pare-feu (firewall)
Installez et exécutez
Installez et exécutez
Installez et exécutez
Installez une liste noire de blocage avec
Désactivez WSH « Windows Scripting Host » avec
Désactiver complètement
Utilisez un système pro-actif contre les failles non encore corrigées :


Pour comprendre



Ce type d'attaques est maintenant bien connu et devraient rester, désormais, sans conséquence. Les responsables sécurité des grands serveurs savent comment les éviter : les pare-feu (firewall) professionnels filtrent les requêtes entrantes et ne permettent plus de répondre à ce genre de requêtes.

Les machines "client", votre PC individuel à la maison, ne sont, en principe, pas la cible de ce type d'attaques mais peuvent en être, involontairement, le bras armé. La découverte d'un outil servant à lancer des sur votre machine doit vous interpeler et vous faire réagir. Ce parasite n'est pas venu tout seul ! Non seulement votre machine est faillible mais, en sus, elle est et vous pourriez être recherché pénalement à cause de votre laxisme qui a permi de lancer une attaque depuis votre machine contre un serveur.

Agir dans 3 directions différentes simultanémentLa présence, sur une machine, de parasites ou d'outils apparemment anodins, mais inattendus, ne doit pas être prise à la légère (y compris la présence de simples documents - pas des programmes - tels des textes de cours de crack ou de hack ou de ******* ( , , , etc. ...)). La réaction ne doit pas se limiter au simple effacement.

Face à cette présence, nous devons engager des actions dans 3 directions différentes simultanément sinon nous risquons le . Il faut :
  1. Corriger les effets
    La première chose à faire est, bien entendu, de corriger immédiatement les effets de la contamination et supprimant la contamination elle-même mais cela ne suffit pas. Il faut encore :
  2. Rechercher les causes en amont
    Chercher, en amont, les causes de sa présence
  3. Prévoir les conséquences en aval
    Chercher, en aval, les conséquences éventuelles de son action à l'encontre de notre machine, nos données, notre réseau, notre entreprise et nous même
Opérations à engager :
L'administrateur réseau ou l'ingénieur en charge de la sécurité devra :
  1. Eradiquer le parasite :
    Bien entendu, il convient d'éliminer le parasite.
    Il y a deux possibilités :
    1. Télécharger, installer et exécuter un antivirus puis un anti-spywares (anti-trojans) localement (sur la machine). Il en est des gratuits pour commencer. Par exemple (sans faire de polémique sur "celui-ci est meilleur que celui-là" etc. ...) on utilisera :
      • Antivirus

        ou

        etc. ... Pour plus de choix, voir le

      • Anti-spywares (anti-trojans)

        Etc. ... Pour plus de choix, voir le
    2. Exécuter des analyses en ligne de la machine avec deux ou trois outils bien solides.
      • Pour la meilleure détection (mais sans correction), utiliser


      • Pour une détection avec éradication :

        ou

        ou


        Nota : la première proposition (Trend Housecall) exploite et n'est donc pas dépendante de la technologie sous - elle peut être utilisée sous etc. ...
  2. Rechercher, en amont, la faille ayant permis l'introduction de ce parasite :
    La présence de ce parasite signifie qu'une faille de sécurité a permis son introduction.
    • Ce peut être une introduction à distance grâce à l'exploitation d'une faille corrigible par application de patchs disponibles chez les éditeurs de tous les logiciels installés sur la machine. La mesure de base étant d'être à jour, quotidiennement, de tous les correctifs de sécurité, on commencera par regarder à , et . On en fera de même pour les autres éditeurs utilisés.
    • Ce peut surtout être une introduction locale du parasite car la faille est, dans la majorité des cas, beaucoup plus proche qu'on ne le pense : on aura donc également un oeil suspicieux sur toutes les personnes pouvant accéder physiquement à cette machine (employé, ami, service technique interne, maintenance technique externe, personnel d'entretien, etc. ...).
    • La mise en place d'un peut être envisagée pour dépister l'attaquant et peut être recherchée comme cause de l'attaque, ces outils ayant 2 usages diamétralement opposés. On regardera également si la n'est pas trop laxiste.
  3. Rechercher, en aval, les conséquences possibles et prendre les mesures nécessaires :
    En fonction de la nature du parasite (de sa classe), nous prendrons les mesures nécessaires. Par exemple, si le parasite vise les mots de passe, il faut immédiatement imaginer qu'ils sont tous compromis. Nous sommes donc en présence d'une nouvelle faille de sécurité, conséquence de la mise en oeuvre probable du parasite contre la machine infectée et le réseau auquel elle appartient. Il convient donc de tous les changer.
Opérations connexes :
  1. Essayer de remonter à la source : en vertu du vieil adage policier "chercher à qui le crime profite", chercher en remontant dans les logs, une identification éventuelle de l'utilisateur (poste de travail, login, adresse IP etc. ...) et les données qui ont pu être révélées. Se prémunir juridiquement en portant plainte immédiatement.

  2. Rechercher la présence d'autres parasites.

  3. Si le parasite concerne le crack de licences internes de logiciels, on pourra, éventuellement, se prémunir juridiquement, en prévenant les éditeurs et, d'autre part, , à titre conservatoire.

  4. Si le parasite concerne le crack (password cracking) ou le vol (password stealing) de mots de passe ou autres données cryptées on recherchera aussi la possibilité de fuite de la clé de cryptage elle-même, depuis le mot de passe écrit sur un post-it collé sur l'écran jusqu'au personnel licencié assouvissant une vengeance... (dans ce dernier cas, les mots de passe auraient dû être changés dès l'envoi de la convocation à l'entretien préalable au licenciement puis changés à nouveau dans la minute qui suit l'entretien préalable et une nouvelle fois au moment du dernier départ physique de la personne licenciée, à l'issue du préavis. Entre-temps, tous ses accès auraient dû être supprimés ou extrêmement restreints).

  5. En entreprise, on retirera tous les outils matériels susceptibles de permettre une copie. Ils seront disposés en service d'accès contrôlé, sur des machines disposées dans une pièce distincte accessible sur justification et autorisation. Tous les périphériques amovibles sont concernés, y compris les disques durs montés en tiroirs, lecteurs de disquettes, de bandes, graveurs et même les memory sticks (ports usb...), clés usb etc. ... On sera particulièrement méfiant à l'égard des dispositifs USB conformes U3 (dont les ).

  6. Le mot de passe du BIOS sera extrêmement durci sur une carte-mère rendue inaccessible par l'usage de boîtiers verrouillés et disposants d'un contact d'ouverture déclenchant une alerte réseau grâce à une petite tâche active en permanence (la machine ne devant jamais être éteinte). Les accès aux disquettes et aux lecteurs de CD-ROM, DVD etc. ... seront inhibés au niveau du BIOS si les périphériques ne sont pas ôtés physiquement de la machine.

  7. En entreprise, on retirera ou restreindra tous les outils logiciels susceptibles de permettre une copie dont le protocole FTP et les clients et serveurs P2P, les accès aux machines et répertoires du réseau...

  8. L'introduction du parasite sur la machine infectée ayant pu se faire à distance cela peut signifier, selon la nature du parasite, qu'un individu l'y a introduit non pas pour l'exploiter mais pour la cacher. C'est une mesure de sécurité élémentaire chez ceux qui manipulent des documents ou utilitaires très critiquables : ils ne les planquent pas chez eux mais chez les autres. Donc, pour revenir les chercher ou les utiliser, l'individu a probablement ménagé une porte : on recherchera du côté des et des r.
Source : Assiste.com.free.fr
 
Merci à toi ! :)

Tu as copier/coller non ? :troll:
 
:ok: Yep
 
Le problème c'est que quand tu te manges 1K de paquets, firewall ou pas, le temps qu'il analyse les paquets pour les rediriger, ton routeur sera très vite saturé.

Un des seuls moyens serait d'utiliser des solutions de routeur pro, comme la marque Cisco:
 
Merci de ce partage weak :)
 
Salut,

Je m'excuse de faire remonter un ancien topic mais cela fais partis de nos règles.

Tu as résolus ton problème ?

Jeson
 
Salut,

Je m'excuse de faire remonter un ancien topic mais cela fais partis de nos règles.

Tu as résolus ton problème ?

Jeson
Si tu aurais pris la peine de lire le topic tu aurais que ce n'est pas une demande d'aide mais un tutoriel.
 
Derien
 
J'ai Norton antivirus et il fait tout ton truc là, je me balade avec un vpn et je me suis jamais fais ddos ;) surtout que ton truc il bouffe toute la mémoire :/
 
Statut
N'est pas ouverte pour d'autres réponses.
Retour
Haut