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Bonne ou mauvaise nouvelle ? à vous d'en faire votre avis
Il n’aura donc fallu que10 jourspour que les hackers parviennent àhacker la Nintendo Switch. Ne sautez pas de joie en pensant que vous pouvez déjà lancer tout et n’importe quoi sur votre nouvelle console
portable, ce hack exploite simplement unefaille liée au navigateur Internetde la console et permet pour l’instant tout juste d’afficher du texte sur l’écrande la console. Mais il pourrait permettre d’en faire bien plus à l’avenir.
Samedi dernier, un hacker répondant au doux nom de @qwertyoruiopa publié sur Twitter une photo de sa Nintendo Switch affichant un simple message: done. Il était parvenu à hacker la nouvelle console de Nintendo.
Le phénomène est connu depuis plusieurs années notamment suriPhone, où l'un des moyens de prendre le contrôle d'iOS 9.3 fut de tirer parti d'une faille de sécurité dans la bibliothèqueWebKit, régissant le navigateur web Safari.
Si Apple a bouché la failleen août dernier aveciOS 9.3.5, le problème est que la Nintendo Switchutilise elle aussi WebKit... et plus précisément une ancienne version, encore vulnérable. On le remarque peu car la machine ne propose pas de naviguer sur Internet en tant que tel.
Faut-il craindre cette nouvelle ? Pas vraiment, d'une part puisqu'aucun jailbreak n'a eu lieu, comme le rappelle le hacker, il s'agit plutôt d'un "point de départ pour des recherches plus approfondies".
De plus nous n'utilisons pas intensivement le navigateur et n'y partageons pas de données sensibles - pour le moment. Cela dit, il reste souhaitable qu'unemise à jour de sécurité soit opérée, aussi bien pour la sécurité des utilisateurs que pour la souveraineté de Nintendo sur sa propre machine.
Bonne ou mauvaise nouvelle ? à vous d'en faire votre avis
Il n’aura donc fallu que10 jourspour que les hackers parviennent àhacker la Nintendo Switch. Ne sautez pas de joie en pensant que vous pouvez déjà lancer tout et n’importe quoi sur votre nouvelle console
portable, ce hack exploite simplement unefaille liée au navigateur Internetde la console et permet pour l’instant tout juste d’afficher du texte sur l’écrande la console. Mais il pourrait permettre d’en faire bien plus à l’avenir.
Samedi dernier, un hacker répondant au doux nom de @qwertyoruiopa publié sur Twitter une photo de sa Nintendo Switch affichant un simple message: done. Il était parvenu à hacker la nouvelle console de Nintendo.
Le phénomène est connu depuis plusieurs années notamment suriPhone, où l'un des moyens de prendre le contrôle d'iOS 9.3 fut de tirer parti d'une faille de sécurité dans la bibliothèqueWebKit, régissant le navigateur web Safari.
Si Apple a bouché la failleen août dernier aveciOS 9.3.5, le problème est que la Nintendo Switchutilise elle aussi WebKit... et plus précisément une ancienne version, encore vulnérable. On le remarque peu car la machine ne propose pas de naviguer sur Internet en tant que tel.
Faut-il craindre cette nouvelle ? Pas vraiment, d'une part puisqu'aucun jailbreak n'a eu lieu, comme le rappelle le hacker, il s'agit plutôt d'un "point de départ pour des recherches plus approfondies".
De plus nous n'utilisons pas intensivement le navigateur et n'y partageons pas de données sensibles - pour le moment. Cela dit, il reste souhaitable qu'unemise à jour de sécurité soit opérée, aussi bien pour la sécurité des utilisateurs que pour la souveraineté de Nintendo sur sa propre machine.
