Question faussement innocente bien sûr, mais c'est pour échanger quelques opinions, voire ouvrir un débat. S'il vous plait, ne faites pas de comparaisons de modèles économiques/politiques dans l'histoire (marxisme & co), ce n'est pas le but. C'est surtout pour un échange d'avis sur base de la situation "moderne" actuelle.
Alors allons-y pour quelques premières questions :
- A s'échanger des services et des produits? Oui, dans un système de compétition marchande c'est nécessaire. Mais si on inverse la vision des choses, en imaginant un réseau de gratuités, la problématique est inversée : ce n'est pas qu'il n'y a pas assez de travail pour tout le monde, mais c'est qu'il y a trop de bras pour trop peu d'heures de travail fondamental.
- A payer un loyer? Oui, mais les proprios ont déjà leur propre toit (et souvent ils gardent le meilleur pour eux), sans compter ceux qui ont déjà rentabilisé leurs achats/rénovations depuis longtemps.
- A payer l'énergie? Oui, sauf que les moyens de production d'énergie alternatives, pour un coût (quasiment) gratuit existent depuis longtemps. Je pense également à ce nouveau
- A payer la bouffe? Oui, sauf qu'il suffirait de consacrer 1h ou 2h maximum tous les mois dans un champ (vu qu'on est tellement nombreux, on pourrait faire des rotations), pour cultiver ou distribuer les récoltes.
- A se payer du bon temps avec des filles de joie? Oui, mais c'est juste bon pour les vieux ou frustrés, incapables de séduire pour "gagner" une relation saine et "gratuite".
- A se payer des gadjets technologiques? Oui, sauf qu'on a déjà tous un smartphone, ou une tablette, ou un PC, avec une (relative) bonne CG. C'est surtout qu'on a pas le dernier modèle, et qu'on veut se donner l'impression que c'est (très) important de l'acquérir.
Finalement, j'ai l'impression qu'à notre époque, l'argent ça sert surtout à nourrir les banquiers, traders et autres vampires qui en veulent toujours plus. Et que nourrir encore ce système c'est, d'une certaine façon, perpétuer quelque chose qui est déconnecté de la réalité actuelle.
On vit déjà dans l'abondance de l'énergie (si on le voulait, c'est techniquement faisable), de la technologie, des objets et gadjets en tout genre, alors qu'est-ce qui nous empeche de revenir à se contenter des choses essentielles? Car de toutes façons, tout ce qui est acheté est acheté. Cela ne va pas disparaitre, et on ne va pas revenir à l'age de pierre.
Je pense qu'on devrait utiliser notre intelligence à certaines priorités, en particulier celle de retrouver un minimum (ou maximum...) de temps libre. Car s'il n'y a plus assez de travail pour tout le monde, c'est uniquement dans une perspective de compétitions marchandes. Mais si on inverse notre vision des choses, comme je disais plus haut, dans un réseau de gratuités il y aurait trop de bras pour trop peu de travail fondamental, et qui ne serait pas (encore) mécanisable.
Je ne sais pas quel age vous avez en moyenne, moi je suis dans la veigtaine , et comme j'ai encore un certain avenir et que mes jours ne sont pas encore comptés (en théorie), je me dis que ça vaudrait la peine de le prendre en charge d'une autre façon, sans perpétuer ce vieux modèle de nos anciens. Car celui-ci n'a plus aucun avenir, sauf si on attend que toujours plus de gens meurent de faim (ou se suicident), afin que la démographie "s'auto-régule". Mais après, on ferait quoi, on se relancerait dans ce principe de concurrences, avec de nouveaux "grands espoirs" de richesse ou de belle carrière? Sommes nous encore des singes pour avoir ce genre de rêves infantiles?
Bon je provoque un peu, mais c'est juste que je me demande s'il y encore autant de jeunes programmés que ça (de ma génération, ou chez les autres).
Alors allons-y pour quelques premières questions :
- A s'échanger des services et des produits? Oui, dans un système de compétition marchande c'est nécessaire. Mais si on inverse la vision des choses, en imaginant un réseau de gratuités, la problématique est inversée : ce n'est pas qu'il n'y a pas assez de travail pour tout le monde, mais c'est qu'il y a trop de bras pour trop peu d'heures de travail fondamental.
- A payer un loyer? Oui, mais les proprios ont déjà leur propre toit (et souvent ils gardent le meilleur pour eux), sans compter ceux qui ont déjà rentabilisé leurs achats/rénovations depuis longtemps.
- A payer l'énergie? Oui, sauf que les moyens de production d'énergie alternatives, pour un coût (quasiment) gratuit existent depuis longtemps. Je pense également à ce nouveau
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très prometteur.- A payer la bouffe? Oui, sauf qu'il suffirait de consacrer 1h ou 2h maximum tous les mois dans un champ (vu qu'on est tellement nombreux, on pourrait faire des rotations), pour cultiver ou distribuer les récoltes.
- A se payer du bon temps avec des filles de joie? Oui, mais c'est juste bon pour les vieux ou frustrés, incapables de séduire pour "gagner" une relation saine et "gratuite".
- A se payer des gadjets technologiques? Oui, sauf qu'on a déjà tous un smartphone, ou une tablette, ou un PC, avec une (relative) bonne CG. C'est surtout qu'on a pas le dernier modèle, et qu'on veut se donner l'impression que c'est (très) important de l'acquérir.
Finalement, j'ai l'impression qu'à notre époque, l'argent ça sert surtout à nourrir les banquiers, traders et autres vampires qui en veulent toujours plus. Et que nourrir encore ce système c'est, d'une certaine façon, perpétuer quelque chose qui est déconnecté de la réalité actuelle.
On vit déjà dans l'abondance de l'énergie (si on le voulait, c'est techniquement faisable), de la technologie, des objets et gadjets en tout genre, alors qu'est-ce qui nous empeche de revenir à se contenter des choses essentielles? Car de toutes façons, tout ce qui est acheté est acheté. Cela ne va pas disparaitre, et on ne va pas revenir à l'age de pierre.
Je pense qu'on devrait utiliser notre intelligence à certaines priorités, en particulier celle de retrouver un minimum (ou maximum...) de temps libre. Car s'il n'y a plus assez de travail pour tout le monde, c'est uniquement dans une perspective de compétitions marchandes. Mais si on inverse notre vision des choses, comme je disais plus haut, dans un réseau de gratuités il y aurait trop de bras pour trop peu de travail fondamental, et qui ne serait pas (encore) mécanisable.
Je ne sais pas quel age vous avez en moyenne, moi je suis dans la veigtaine , et comme j'ai encore un certain avenir et que mes jours ne sont pas encore comptés (en théorie), je me dis que ça vaudrait la peine de le prendre en charge d'une autre façon, sans perpétuer ce vieux modèle de nos anciens. Car celui-ci n'a plus aucun avenir, sauf si on attend que toujours plus de gens meurent de faim (ou se suicident), afin que la démographie "s'auto-régule". Mais après, on ferait quoi, on se relancerait dans ce principe de concurrences, avec de nouveaux "grands espoirs" de richesse ou de belle carrière? Sommes nous encore des singes pour avoir ce genre de rêves infantiles?
Bon je provoque un peu, mais c'est juste que je me demande s'il y encore autant de jeunes programmés que ça (de ma génération, ou chez les autres).