Grand Theft Auto Online est donc une réalité, après que Rockstar a finalement diffusé trois minutes de vidéo de ce qui pourrait être son entrée tardive, mais majeure, dans le monde chahuté des expériences en ligne.
Car plus qu'un bête mode multijoueur adjoint à GTA V, l'expérience se veut suffisamment travaillée et prometteuse pour que la communauté (et les investisseurs de Rockstar) continuent de profiter de GTA pendant l'interminable disette qui sépare deux épisodes canoniques. En attendant le 1er octobre, date d'ouverture de Los Santos aux criminels connectés, voici déjà ce que l'on sait sur GTA Online, en cinq points.
UN GROS PATCH GRATUIT
Grand Theft Auto Online n'est pas exactement un jeu à part entière, puisqu'il faut posséder GTA V pour télécharger l'extension multijoueur. Celle-ci prendra la forme d'un patch, gratuit donc, à récupérer deux semaines après la sortie de Grand Theft Auto V, le 17 septembre. La mise en ligne de GTA Online est calée au 1er octobre, sans qu'on connaisse exactement les limites de la gratuité promise par Rockstar. Sans aller jusqu'à imaginer un abonnement, on peut raisonnablement parier sur une farandole d'objets et de contenus à acheter pour ce mode de jeu. On peut aussi imaginer qu'à terme, Rockstar commercialise GTA Online isolément de GTA V. Du reste, afin d'assurer la promotion de son mode multijoueur, le développeur intègrera un compte à rebours dans GTA V, du 17 septembre jusqu'au jour J.
JUSQU'À 16 JOUEURS
S'il faut faire le distingo entre GTA V et GTA Online, ceux-ci partagent cependant les mêmes environnements de Los Santos. D'après Gamespot, pour passer du solo au multijoueur, il suffira simplement de sélectionner le personnage correspondant à GTA Online, dans le menu qui permet normalement de switcher entre Michael, Trevor, et Franklin. Des amis peuvent néanmoins vous convier à rejoindre "leur" ville à tout moment. Lorsque vous vous réunissez dans GTA Online, deux types de missions s'offrent à vous : celles que vous vous imposez (braquer une boutique, une banque), et celles que le développeur a prévues pour vous. Nos confrères américains ont ainsi pu assister à l'attaque d'un aéroport et au détournement d'un cargo militaire ; dans cette mission, le jeu ne vous donne qu'une consigne (voler l'avion et le faire atterrir à un endroit donné) et quelques recommandations (quel rôle pour tel joueur, par exemple), puis vous laisse gérer votre affaire. Afin de corser l'addition et de forcer la coopération entre ses membres, le groupe se partage un nombre limité de vies. La difficulté est toutefois paramétrable avant chaque mission.
UNE RÉPUTATION À BÂTIR
Comme dans n'importe quel GTA, c'est à la force de la gâchette que vous parviendrez à vous faire respecter des petites frappes de Los Santos. Dans la ville "Online", ce sont ainsi des RP (pour Reputation Points) qui forgeront votre aura criminelle. Vous les remportez à mesure que vous progressez dans les missions ; votre capital de "Réputation" permet ensuite de découvrir de nouveaux PNJ, inédits, et donc des missions supplémentaires. A noter que les magots récoltés lors des casses devront manifestement être partagés "manuellement" entre les différents malfrats - une façon d'inviter les joueurs à la paranoïa, voire aux coups bas. Gamespot affirme ainsi qu'il sera possible, si vous vous sentez floué, de retrouver votre ex-associé du crime pour régler vos comptes. Ou, si vous souhaitez garder les dents blanches et mains propres, engager un tueur à gages pour faire le sale boulot. Car tout dollar dans votre poche peut potentiellement être récupéré sur votre cadavre ; pensez-donc à le mettre en banque (vous apprécierez l'ironie) dès que possible.
DU CONTENU GÉNÉRÉ PAR LES JOUEURS... À TERME
Si l'on essaie de lire entre les lignes, GTA Online peut (doit ?) à terme devenir une plate-forme autonome, affranchie des liens avec GTA V, où prospéreront sauvagement criminalité, season pass et micro-transactions en tous genres. Le développeur promet ainsi d'ajouter des briques de contenu régulièrement (on pense à des missions, peut-être à des environnements ?) après la sortie du titre, sans qu'on sache vraiment si ceux-ci seront tous gratuits (ne soyons pas non plus totalement naïfs, hein). Les joueurs désireux de se construire leur propre multijoueur seront toutefois heureux d'apprendre que des mécaniques de "user generated content" sont au programme... mais hélas pas pour le 1er octobre, du moins pas pour la totalité. Grâce à celles-ci, si vous croisez un joueur dans Los Santos, vous pourrez alors le défier dans une course (vous placez des checkpoints et une ligne d'arrivée où bon vous semble, et c'est parti), ou créer des deathmatch un peu partout.
VIS MA VIE DE RENTIER
En bon braqueur que vous êtes, vous êtes bien placé pour savoir que votre compte en banque n'est jamais qu'une retraite précaire pour votre pactole. Aussi, GTA Online devrait vous permettre de l'investir dans à peu près n'importe quoi ; Gamespot fait même allusion à un système de boursicotage, qui sera implémenté après la sortie du jeu. Il serait par exemple possible de prendre des parts chez un constructeur automobile, puis d'aller dans les rues de Los Santos pour démolir les véhicules de votre marque, afin d'augmenter artificiellement la demande en véhicules neufs. Vous pourrez aussi faire l'acquisition de garages ou d'appartements particuliers, reflets de votre empire. Avec votre télévision, vous pourrez surveiller les caméras de surveillance placées dans votre garage personnel, et donc intervenir si un autre joueur tente de subtiliser quelques-uns de vos bolides hors de prix.
SOURCE:
Car plus qu'un bête mode multijoueur adjoint à GTA V, l'expérience se veut suffisamment travaillée et prometteuse pour que la communauté (et les investisseurs de Rockstar) continuent de profiter de GTA pendant l'interminable disette qui sépare deux épisodes canoniques. En attendant le 1er octobre, date d'ouverture de Los Santos aux criminels connectés, voici déjà ce que l'on sait sur GTA Online, en cinq points.

UN GROS PATCH GRATUIT
Grand Theft Auto Online n'est pas exactement un jeu à part entière, puisqu'il faut posséder GTA V pour télécharger l'extension multijoueur. Celle-ci prendra la forme d'un patch, gratuit donc, à récupérer deux semaines après la sortie de Grand Theft Auto V, le 17 septembre. La mise en ligne de GTA Online est calée au 1er octobre, sans qu'on connaisse exactement les limites de la gratuité promise par Rockstar. Sans aller jusqu'à imaginer un abonnement, on peut raisonnablement parier sur une farandole d'objets et de contenus à acheter pour ce mode de jeu. On peut aussi imaginer qu'à terme, Rockstar commercialise GTA Online isolément de GTA V. Du reste, afin d'assurer la promotion de son mode multijoueur, le développeur intègrera un compte à rebours dans GTA V, du 17 septembre jusqu'au jour J.

JUSQU'À 16 JOUEURS
S'il faut faire le distingo entre GTA V et GTA Online, ceux-ci partagent cependant les mêmes environnements de Los Santos. D'après Gamespot, pour passer du solo au multijoueur, il suffira simplement de sélectionner le personnage correspondant à GTA Online, dans le menu qui permet normalement de switcher entre Michael, Trevor, et Franklin. Des amis peuvent néanmoins vous convier à rejoindre "leur" ville à tout moment. Lorsque vous vous réunissez dans GTA Online, deux types de missions s'offrent à vous : celles que vous vous imposez (braquer une boutique, une banque), et celles que le développeur a prévues pour vous. Nos confrères américains ont ainsi pu assister à l'attaque d'un aéroport et au détournement d'un cargo militaire ; dans cette mission, le jeu ne vous donne qu'une consigne (voler l'avion et le faire atterrir à un endroit donné) et quelques recommandations (quel rôle pour tel joueur, par exemple), puis vous laisse gérer votre affaire. Afin de corser l'addition et de forcer la coopération entre ses membres, le groupe se partage un nombre limité de vies. La difficulté est toutefois paramétrable avant chaque mission.

UNE RÉPUTATION À BÂTIR
Comme dans n'importe quel GTA, c'est à la force de la gâchette que vous parviendrez à vous faire respecter des petites frappes de Los Santos. Dans la ville "Online", ce sont ainsi des RP (pour Reputation Points) qui forgeront votre aura criminelle. Vous les remportez à mesure que vous progressez dans les missions ; votre capital de "Réputation" permet ensuite de découvrir de nouveaux PNJ, inédits, et donc des missions supplémentaires. A noter que les magots récoltés lors des casses devront manifestement être partagés "manuellement" entre les différents malfrats - une façon d'inviter les joueurs à la paranoïa, voire aux coups bas. Gamespot affirme ainsi qu'il sera possible, si vous vous sentez floué, de retrouver votre ex-associé du crime pour régler vos comptes. Ou, si vous souhaitez garder les dents blanches et mains propres, engager un tueur à gages pour faire le sale boulot. Car tout dollar dans votre poche peut potentiellement être récupéré sur votre cadavre ; pensez-donc à le mettre en banque (vous apprécierez l'ironie) dès que possible.

DU CONTENU GÉNÉRÉ PAR LES JOUEURS... À TERME
Si l'on essaie de lire entre les lignes, GTA Online peut (doit ?) à terme devenir une plate-forme autonome, affranchie des liens avec GTA V, où prospéreront sauvagement criminalité, season pass et micro-transactions en tous genres. Le développeur promet ainsi d'ajouter des briques de contenu régulièrement (on pense à des missions, peut-être à des environnements ?) après la sortie du titre, sans qu'on sache vraiment si ceux-ci seront tous gratuits (ne soyons pas non plus totalement naïfs, hein). Les joueurs désireux de se construire leur propre multijoueur seront toutefois heureux d'apprendre que des mécaniques de "user generated content" sont au programme... mais hélas pas pour le 1er octobre, du moins pas pour la totalité. Grâce à celles-ci, si vous croisez un joueur dans Los Santos, vous pourrez alors le défier dans une course (vous placez des checkpoints et une ligne d'arrivée où bon vous semble, et c'est parti), ou créer des deathmatch un peu partout.

VIS MA VIE DE RENTIER
En bon braqueur que vous êtes, vous êtes bien placé pour savoir que votre compte en banque n'est jamais qu'une retraite précaire pour votre pactole. Aussi, GTA Online devrait vous permettre de l'investir dans à peu près n'importe quoi ; Gamespot fait même allusion à un système de boursicotage, qui sera implémenté après la sortie du jeu. Il serait par exemple possible de prendre des parts chez un constructeur automobile, puis d'aller dans les rues de Los Santos pour démolir les véhicules de votre marque, afin d'augmenter artificiellement la demande en véhicules neufs. Vous pourrez aussi faire l'acquisition de garages ou d'appartements particuliers, reflets de votre empire. Avec votre télévision, vous pourrez surveiller les caméras de surveillance placées dans votre garage personnel, et donc intervenir si un autre joueur tente de subtiliser quelques-uns de vos bolides hors de prix.
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