Salut à tous et à toute, on se retrouve aujourd'hui pour un tout nouveau topic après un long mois d'absence. Qui dit absence dit gros topic et là si vous ne retrouvez pas votre plaisir là-dedans je jette l'éponge, dans ce numéro vous retrouverez 5 news avec un test de jeu (moyen), un test d'équipement. Je continue toujours dans un style plutôt venu du journalisme, à vous de me dire ce que vous en pensez. Bon trêve de bavardages et commençons tout de suite 
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Merci à @MGK SEC pour les headers
En guise d'introduction à une interview donnée au journal américain Time, les producteurs Sebastian Enrique et Aaron Mchardy expliquent que, plus que jamais, l'édition 2016 de Fifa sera la somme de nombreux changements sur tous les aspects du jeu. Il faut dire que l'édition précédente du jeu nous avait laissé un goût amer, et les deux hommes ne manquent pas d'y faire référence ! Notamment par le biais de vidéos comparatives entre le jeu de l'an passé et celui à venir. Sans verser dans le mea-culpa on sentait des regrets, des erreurs de dosages. Les frappes tendues au premier poteau, les gardiens et défenseurs apathiques ou le rythme trop élevé ont sonné comme autant d'alarmes, même si elle ne brûle pas encore la maison Fifa est en danger.
Pour y remédier, EA Sport propose toute une série de modification, menues où essentielles, autour de trois axes : retrouver la confiance en sa défense, reprendre le contrôle du milieu de terrain et vivre des moments magiques. On ne demande pas mieux. Côté défense, les joueurs concernés sont plus agiles, avec plus de 35 rectifications de comportement destinées à éviter le fameux "cassage de reins" que leur imposaient les attaquants l'an passé. L'équipe réagit à la possession de balle de façon collective, évitant de laisser des espaces. Pour récupérer le cuir, les tacles se font plus efficaces, le jeu physique, à l'épaule, plus musclé. De son côté, le gardien sort enfin de ses rails, disposants de divers types de courses. Pour un défenseur, il est plus aisé de récupérer une balle à mi-hauteur, alors qu'il s'agissait d'un calvaire sur l'édition 2015.
Au milieu de terrain, les interceptions se font de manière plus intelligente, afin de ne pas passer outre cette partie essentielle de la construction. Pour obtenir un résultat aussi efficace que l'an passé notamment en profondeur, il faudra prendre un risque en appuyant la passe, via la touche RB (ou R1). Le passeur effectuera son geste plus promptement mais, en contrepartie, la balle sera plus difficile à contrôler. Pour ce qui est des moments magiques, un tout nouveau système baptisé "no Touch dribbling" permet de décider quand le joueur touche le ballon ou pas, afin de multiplier les feintes et les changements de rythme comme Messi. Une sorte d'embrayage pour footballeur technique. Les centres se montrent plus dynamiques et précis. Enfin les attaquants se la jouent chirurgical dans la finition, cessant de tergiverser. Mais la nouveauté qui a fait l'événement à son annonce, c'est l'arrivée des équipes nationales féminines (un sujet a été fait). Un jeu dans le jeu puisque, côté filles, les parties sont plus technique et tactiques, moins physiques, ce qui est loin d'être désagréable ! Techniquement, FIFA 16 affine textures et ombres pour un meilleur rendu... Mais la vitesse du jeu m'a paru excessivement lente que FIFA 15 était rapide avant son patch. Manette en main les prouesses des producteurs nécessitaient encore de précieux réglages, tant le ballon semblait englué dans le milieu de terrain, affaire à suivre...
L'Agent 47 s'offre une cure de jouvence et repart aux quatre coins du monde pour perpétrer des assassinats toujours aussi sophistiqués !
Plus jeune, plus mince que dans Hitman Absolution, le dernier épisode de la saga en date, voilà comment nous apparaît l'agent 47 dans ce nouvel opus. Si l'agent 47 n'a plus besoin de jouer les gros bras, c'est surtout par ce que les développeurs ont souhaité revenir aux sources de la série, à savoir l'observation de l'environnement avant de passer à l'acte. Le niveau présenté lors de l'E3 se situait dans une somptueuse demeure parisienne sur une île (fictive) au beau milieu de la Seine, offrait ainsi une kyrielle de possibilités sont pour approcher votre victime et la tuer de manière brutal ou bien très subtile : se déguiser en barman et verser du poison dans son cocktail, lui faire tomber sur la tête une enceinte accrochée à un balcon, introduire une arme dans la bâtisse en la plaçant dans les cartons de nourriture apportée par le traiteur, voilà quelques-uns des techniques envisageables.
Si le concept n'a pas beaucoup évolué, l'intelligence artificielle des gardes est, en revanche, d'ores et déjà plus sophistiquée. La démonté montrait que ces derniers peuvent repérer une charge explosive au sol et de la désamorcer. Plus intéressant encore, le chef de la sécurité ne se laissera pas duper par l'agent 47 déguisé en garde, car il connaît l'identité de tous ses hommes... Hitman entend suis proposer de nouveaux modes de jeu, comme un système de cible aléatoire : débrouillez-vous pour la trouver et l'abattre, en vous aidant si besoin des conseils des autres joueurs. De même, le contenue devrait régulièrement s'étoffer de nouvelles missions, mais on ne sait pas encore sous quelle sombrer dans le remake amélioré (Abonnement, DLC) d'un point de vu graphique, Hitman est plutôt impressionnant, mais le jeu tournait sur un gros PC. A voir si la version finale sera aussi aboutie sur consoles...
Dès son premier épisode sorti il y a quinze ans, Deus Ex n'a jamais été une série de jeu comme les autres. Mélange des genres, où chaque volet combine le jeu de tir à la première personne, l'infiltration voire le RPG, elle nous interroge sur notre futur et les implications d'une technologie sans cesse plus instructive tant dans les corps que dans les esprits humains. Ce fut particulièrement le cas dans l'épisode sorti en 2011, Human Revolution, qui se trouvait dans une préquelle de la saga. Succès tant critiqué par le public, il nous fessait découvrir un nouveau héros Adam Jensen, dans un contexte de "cyber-renaissance" ou il était question dé transhumanisime, terrorisme et conspiration internationale. Très réussi sur le fond, avec la nette impression que claques détail avait été mûrement réfléchi, le jeu péchait un peu sur certains aspects comme les combats ou les confortations avec le boos. Des faiblesses donc les équipes d’Eidos Montreal sont parfaitement conscientes.
Par manque de temps, de moyens ou tout simplement d’expérience, Human Revolution est perfectible. Sans tomber dans le remake améliorer, Manakind Divied va essayer de gommer les défauts de son prédécesseur tout en nous dévoilant la suite des aventures d’Adam Jensen. Contrairement à ce que laissent entendre certaines fins de Human Revolution, l’agent bardé de cybernétique est toujours vivant. Deux ans se sont écoulés après les événements tragiques de Panchaea, qui ont entraînés une vague de violence responsables de huit millions de mort. A défauts de savoir ce qui s’est vraiment passé, le grand public a trouvé ses boucs émissaires : les augmentés, ces humains dont le corps a été partiellement améliorer par le cybernétique. Désormais il y a une fracture entre les « augmentés » et les autres. Beaucoup d’augmentés sont ostracisés, voire parqués dans des ghettos. De son côté, Jensen travaille désormais pour une organisation dépendant des Nations Unies : la Task Force 29. Sa mission est de prévenir divers actes terrorismes notamment en relation avec les augmentés. Mais Jensen est également un agent double œuvrant pour le Juggernaut Collective, un groupe de hackers et activistes. En sous-main, il va les aider à traqué les Illuminati, dont il a appris l’existence lors de ses missions précédentes. Il va de soi que cette double allégeance va être une source de dilemmes pour notre héros. Devra-t-il risquer sa couverture ou faire passer la sécurité du monde avant tout ? Se rangera-t-il du côté des augmentés terroriste ou va-t-il les pourchassés sans relâche ? Autant de questions qui seront directement intégrés au récit qui promet de ne jamais être manichéen.
Tout au long de l’aventure, vous aurez à faire de nombreux choix pour Jensen. Et ils risquent d’être lourds de conséquences. D’ailleurs, si le principe des fins multiples est conservés, plus questions d’appuyer sur un bouton à la fin de l’aventure, puis de charger sa sauvegardes pour connaître toutes les conclusions possibles. Les fins dépendront de la totalité de l’aventure, et donc de certaines de vos décisions. Il faudra rejouer plusieurs fois à Manakind Divded pour toutes les explorer ! Ces interrogations sur le futur et la nature humaine s’annoncent passionnantes. Cependant, c’est du côté du gameplay que les nouveautés vont être les plus nombreuses. S’appuyant toujours sur un subtil équilibre entre différents composantes (infiltration, RPG, combat, exploration), la ligne directrice de cet opus consiste avant tout à améliorer ce toucher aux aspects les plus réussis d’Human Revolution. Ainsi, l’infiltration ou les interactions sociales seront sensiblement similaires au jeu précédent. En revanche, les combats sont métamorphosés. Plus fluides, plus variés et surtout plus spectaculaires, ils bénéficient d’améliorations visuelles comme des effets de particules ou la destruction partielle d’éléments de décor. Surtout, ils seront plus nerveux et agressifs notamment parce que les augmentations, ces capacités que Jensen développe en modifiant son corps avec la technologie, seront plus facile à utiliser. Un jeu qui promet de belles aventures !
Voilà près de 10 ans que la License Need for speed se cherche pour finalement retrouver, en fin d’année 2015, son identité perdu : des courses de nuit en monde ouvert, des flics et une customisation poussée des véhicules. Toujours développée par Ghost Games (Need for Speed : Rivals, 2013), ce nouvel opus promet « la customisation de NFS : Underground dans le monde ouvert de NFS : Rivals » peu de doute à avoir sur l’intention : entre la tonne de modifications possibles et une zone de jeu annoncée comme deux fois plus grande que celle de NFS : Rivals, ce Need For Speed paraît prometteur. Reste à savoir comment Ghost Games et Electronic Arts rendront cet univers vivant et attractif. Courses classiques, épreuves du drift ou de vitesse sont déjà mentionnées. Electronic Arts parle également d’une histoire captivante faisant la part belle à la culture urbaine, en témoigne son partenariat avec le collectif de passionnés Speedhunters (notamment pour la sélection des voitures lors du développement). En mouvement, le titre dévoile d’ores et déjà une réalisation à la hauteur de nos attentes avec des bolides finement modélisés et des effets visuels réussis. On note par ailleurs que la caméra s’abaisse au niveau du sol, lors des dérapages, pour un rendu très spectaculaires, en espérant cependant que ce ne soit pas au détriment de la visibilité. Autre détail : l’intégration de cinématiques avec des acteurs réels rappelle l’époque où la série NFS faisait appel à des stars (Brooke Burke, Josie Maranr, Emmanuelle Vaugier…). On sclusivité PS4e croirait revenu dix ans en arrière et, ça, c’est bon signe pour un Need for Speed.
C’est une avant-première que j’ai eu la chance de tester lors d’une beta fermé je vous en offre quelques sentiments ici. A travers cette exclusivité PS4, les développeurs semblent vouloir rendre un bel hommage au genre cinématographique du « Slasher »
Sous genre du fantastique, le slasher a toujours été bien représenté sur grand écran. A travers les sagas Vendredi 13, Halloween, Scream ou encore Souviens-toi… l’été dernier. Un lieu isolé, une bande d’adolescents délurés et un tueur fous : voilà le principe du genre donc Until Dawn s’inspire, à grands renforts de personnages archétypiques et de séquence de frousse plutôt bien agencées. L’histoire débute par la disparition tragique de deux sœurs au cours d’une nuit mouvementée dans un chalet de haute-montagne (celui qui dit What The cut je le biffle). Un an après les amis présent lors du drame décide de se réunir à nouveau au même endroit, histoire de rendre hommage aux jeunes femmes. Mais la soirée ne se passe pas comme prévue, dès lors qu’intervient un tueur costaud arborant un masque de clown… Séance de spiritismes en groupe avec une planche d’ouija, exploration d’un sous-sol lugubre pour remettre en route le générateur électrique, course poursuite dans la neige émaillée de mini QTE avec une créature supposée monstrueuse… Le scénario caricatural sert de prétexte pour enchaîner, avec plaisir, de nombreuses situations référentielles faisant augmenter le taux d’adrénaline chez le joueur.
Et celles-ci sont d’autant plus crédibles qu’elles sont interprétées très justement par de vrais acteurs, très bien modélisés. Parmi ces derniers nous retrouvons Hayden Panettiere, issue de la série Heros, Brett Dalton, vu dans Les agents du Shield, mais surtout l’excellent Peter Stomare (psychopathe dans Fargo) dans le rôle du Dr Hill, inquiétant psychiatre dont le bureau se décompose à chaque rencontre. Au fil de l’aventure, le joueur est amené à diriger les quatre personnages à la troisième personne quasiment chaque personnage, afin d’explorer les lieux dans le but de résoudre une situation donnée (trouver untel, aller à tel endroit) Mais il est aussi possible de se lancer à la recherche d’indice, (papier documents..) et de totems donc la couleur indique un évènement proche (rouge = danger blanc = chance). Lors des importantes séquences d’action ou de dialogues, le joueur doit aussi faire un choix entre deux propositions annoncé à l’écran qui orientent l’histoire et les affinités entre les personnages. Mieux, le fait de ne rien choisir aboutit parfois à un troisième scénario ! Ces embranchements divers du scénario ici sont appelés « effets Papillon » promettent donc de multiples fins. Et, en guise de gimmicks sympas, le jeu utilise la fonction Sixaxis pour manipuler les objets, il utilise aussi la PlayStation Caméra pour filmer le joueur lors des scènes d’angoisse qui font sursautés, bien vu !
+ Les codes du huis clos horrifique sont tous là et l’ambiance est au top !
+ Graphismes bluffants, y compris dans la modélisation des acteurs
- Impression parfois d’avoir trop peu de choix face à un film interactif
- Ca rame par moment et les persos sont un peu lourd à manier.
Si vous étiez passé à côté de la série F1 ces dernières années, retenez seulement que la discipline n’avait rarement été aussi bien représentée en jeux-vidéo. Sans devenir une simulation ultra-réaliste réservée à une élite, elle a su retranscrire parfaitement m’essence de la Formule 1, avec de nombreux paramètres pour apporter de la stratégie en pleine course. Connaître les circuits sur le bout des doigts, régler sa voiture en fonction de son style de pilotage, utiliser un mélange rapide de carburant à certains endroit du circuit pour aller plus vite (mais au risque de se retrouver à SEC en fin de course), adapter sa conduite en fonction de l’état du bitume, de ses pneus, des conditions météos évolutives ou du contexte… Autant de raison qui en font l’une des meilleurs séries auto de la génération précédente. Il y a bien eu quelques ratés (le online de la version 2012, l’édition 2014 paresseuse), mais les F1 nous ont rappelé de jeux de course. Et, finalement, on ne demandait pas grand-chose de plus sur les consoles next-gent mais manque de pot, F1 2015 en fait moins que d’habitude. On peut d’ores et déjà lister le contenu perdu : pas de création de pilote pour se lancer dans une Carrière au long cours, pas de coop ; à deux joueurs non plus, pas de mode entrainement, pas de défis, mais alors que reste-t-il du solo ? Du contre-la-montre (avec la possibilité Bienvenue de récupérer les fantômes de la communauté), la création de ses propres courses/championnats, la possibilité de jouer avec les voitures et les courses de la saison 2014, 2015 et un championnat officiel.
Malgré l’effort de mise en scène (présentation des courses, des voitures, des podiums…) On regrette l’obligation de choisir des types d’expériences déjà paramétrés. Par exemple, le modèle « classique » (une course d’une quinzaine de tours) n’existe donc qu’avec des séances de qualifications raccourcies aller savoir pourquoi ! Il faut donc passer par le mode course rapide pour paramétrer l’expérience à sa guise. En plus de trahir un manque de temps et de moyens pour finir le jeu, ces errements dans l’interface font tache quand on sort de Project Cars et de sa liberté de paramétrage. Mais comme pour Forza Motosport 5, tout cela pourrait être oublié, si l’ambiance et le pilotage au sein d’une course répondaient aux attentes. Heureusement que oui, rien à redire la dessus, le cœur du jeu reste intact. La réglementation actuelle de la F1 rend la discipline moins spectaculaire mais, en l’état, F1 2015 se prend en main avec plaisir. Les sensations sont là, rehaussées par le 60/images par secondes, les pertes de grip en phase de ré accélération et les évolutions météo toujours aussi maîtrisées.
Toutefois, comme pour nous rappeler sa condition de jeu mal fini, F1 2015 dévoile une IA qui n’a jamais autant roulé sur un rail. Prêt à lui trouver un ultime intérêt, on se lance entre amis en multijoueur pour des parties endiablées, toutes les aides désactivées. La sauce tend à prendre jusqu’au moment où on réalise la présence d’un lag permanant, les joueurs ncesseur e voyant pas les mêmes situations à l’écran. Des défauts qui font énormément de tort aux excellentes sensations de pilotage de jeu. En attendant un quelconque patch ou l’édition de l’année prochaine, mieux vaut donc passer du temps sur Project Cars et commencer à s’intéresser à Forza Motosport 6 qui semble corriger les défauts de son prédécesseur !
Mini test d’une tablette que j’adore la tablette Xperia Z4 TABLET :
Puisque l’on ne va pas caler dans sa valise sa console de salon ni son PC, il ne reste guère que la tablette pour jouer sur n écran grand format. Loin d’être un pis-aller, l’ardoise est l’un des meilleurs choix pour se divertir en mode nomade, surtout si on a la bonne idée de craquer pour un modèle aussi performant que la Z4. Jugez plutôt : écran 10,1 pouces en 2560 X 1600 pixels sur une dalle IPS, puce Snapdragon 810 aidée d’un processeur graphique Adrendo 430, 3 Go de RAM et 32 Go de stockage étendu au besoin grâce au port microSD. Autant dire que la dernière-née de Sony en a dans le ventre et le montre avec les jeux les plus gourmands du Google play. Aucun ralentissement sur des graphismes d’une fluidité et d’une finesse remarquable. Que vous soyez amateur de point’n’click au rythme lent ou de la frénésie de jeux de course ou des FPS, vous trouverez là une tablette à la mesure de vous ambitions.
Puisque nous sommes plongés dans les vacances, signalons que c’est un excellent lecteur multimédia, parfait pour visionner quelques saisons de vos séries préférées ou vous détendre en musique. C’est aussi un appareil photo d’appoint assez pratique dans des conditions de lumière favorable. Evidemment, la qualité a un prix et Sony ne manque pas de vous le rappeler. Avec 600€ à décaisser, puis les 180€ du clavier pour se donner bonne conscience en faisant semblant de travailler, on ne peut décemment pas parler d’un produit accessible à toutes les bourses.
Donc voilà c’est tout, j’espère que ce topic vous aura plus, j’ai pris pas mal de temps à l’écrire avec un style nouveau, je vous dit à la prochaine bisous
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En guise d'introduction à une interview donnée au journal américain Time, les producteurs Sebastian Enrique et Aaron Mchardy expliquent que, plus que jamais, l'édition 2016 de Fifa sera la somme de nombreux changements sur tous les aspects du jeu. Il faut dire que l'édition précédente du jeu nous avait laissé un goût amer, et les deux hommes ne manquent pas d'y faire référence ! Notamment par le biais de vidéos comparatives entre le jeu de l'an passé et celui à venir. Sans verser dans le mea-culpa on sentait des regrets, des erreurs de dosages. Les frappes tendues au premier poteau, les gardiens et défenseurs apathiques ou le rythme trop élevé ont sonné comme autant d'alarmes, même si elle ne brûle pas encore la maison Fifa est en danger.
Pour y remédier, EA Sport propose toute une série de modification, menues où essentielles, autour de trois axes : retrouver la confiance en sa défense, reprendre le contrôle du milieu de terrain et vivre des moments magiques. On ne demande pas mieux. Côté défense, les joueurs concernés sont plus agiles, avec plus de 35 rectifications de comportement destinées à éviter le fameux "cassage de reins" que leur imposaient les attaquants l'an passé. L'équipe réagit à la possession de balle de façon collective, évitant de laisser des espaces. Pour récupérer le cuir, les tacles se font plus efficaces, le jeu physique, à l'épaule, plus musclé. De son côté, le gardien sort enfin de ses rails, disposants de divers types de courses. Pour un défenseur, il est plus aisé de récupérer une balle à mi-hauteur, alors qu'il s'agissait d'un calvaire sur l'édition 2015.
Au milieu de terrain, les interceptions se font de manière plus intelligente, afin de ne pas passer outre cette partie essentielle de la construction. Pour obtenir un résultat aussi efficace que l'an passé notamment en profondeur, il faudra prendre un risque en appuyant la passe, via la touche RB (ou R1). Le passeur effectuera son geste plus promptement mais, en contrepartie, la balle sera plus difficile à contrôler. Pour ce qui est des moments magiques, un tout nouveau système baptisé "no Touch dribbling" permet de décider quand le joueur touche le ballon ou pas, afin de multiplier les feintes et les changements de rythme comme Messi. Une sorte d'embrayage pour footballeur technique. Les centres se montrent plus dynamiques et précis. Enfin les attaquants se la jouent chirurgical dans la finition, cessant de tergiverser. Mais la nouveauté qui a fait l'événement à son annonce, c'est l'arrivée des équipes nationales féminines (un sujet a été fait). Un jeu dans le jeu puisque, côté filles, les parties sont plus technique et tactiques, moins physiques, ce qui est loin d'être désagréable ! Techniquement, FIFA 16 affine textures et ombres pour un meilleur rendu... Mais la vitesse du jeu m'a paru excessivement lente que FIFA 15 était rapide avant son patch. Manette en main les prouesses des producteurs nécessitaient encore de précieux réglages, tant le ballon semblait englué dans le milieu de terrain, affaire à suivre...
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L'Agent 47 s'offre une cure de jouvence et repart aux quatre coins du monde pour perpétrer des assassinats toujours aussi sophistiqués !
Plus jeune, plus mince que dans Hitman Absolution, le dernier épisode de la saga en date, voilà comment nous apparaît l'agent 47 dans ce nouvel opus. Si l'agent 47 n'a plus besoin de jouer les gros bras, c'est surtout par ce que les développeurs ont souhaité revenir aux sources de la série, à savoir l'observation de l'environnement avant de passer à l'acte. Le niveau présenté lors de l'E3 se situait dans une somptueuse demeure parisienne sur une île (fictive) au beau milieu de la Seine, offrait ainsi une kyrielle de possibilités sont pour approcher votre victime et la tuer de manière brutal ou bien très subtile : se déguiser en barman et verser du poison dans son cocktail, lui faire tomber sur la tête une enceinte accrochée à un balcon, introduire une arme dans la bâtisse en la plaçant dans les cartons de nourriture apportée par le traiteur, voilà quelques-uns des techniques envisageables.
Si le concept n'a pas beaucoup évolué, l'intelligence artificielle des gardes est, en revanche, d'ores et déjà plus sophistiquée. La démonté montrait que ces derniers peuvent repérer une charge explosive au sol et de la désamorcer. Plus intéressant encore, le chef de la sécurité ne se laissera pas duper par l'agent 47 déguisé en garde, car il connaît l'identité de tous ses hommes... Hitman entend suis proposer de nouveaux modes de jeu, comme un système de cible aléatoire : débrouillez-vous pour la trouver et l'abattre, en vous aidant si besoin des conseils des autres joueurs. De même, le contenue devrait régulièrement s'étoffer de nouvelles missions, mais on ne sait pas encore sous quelle sombrer dans le remake amélioré (Abonnement, DLC) d'un point de vu graphique, Hitman est plutôt impressionnant, mais le jeu tournait sur un gros PC. A voir si la version finale sera aussi aboutie sur consoles...
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Dès son premier épisode sorti il y a quinze ans, Deus Ex n'a jamais été une série de jeu comme les autres. Mélange des genres, où chaque volet combine le jeu de tir à la première personne, l'infiltration voire le RPG, elle nous interroge sur notre futur et les implications d'une technologie sans cesse plus instructive tant dans les corps que dans les esprits humains. Ce fut particulièrement le cas dans l'épisode sorti en 2011, Human Revolution, qui se trouvait dans une préquelle de la saga. Succès tant critiqué par le public, il nous fessait découvrir un nouveau héros Adam Jensen, dans un contexte de "cyber-renaissance" ou il était question dé transhumanisime, terrorisme et conspiration internationale. Très réussi sur le fond, avec la nette impression que claques détail avait été mûrement réfléchi, le jeu péchait un peu sur certains aspects comme les combats ou les confortations avec le boos. Des faiblesses donc les équipes d’Eidos Montreal sont parfaitement conscientes.
Par manque de temps, de moyens ou tout simplement d’expérience, Human Revolution est perfectible. Sans tomber dans le remake améliorer, Manakind Divied va essayer de gommer les défauts de son prédécesseur tout en nous dévoilant la suite des aventures d’Adam Jensen. Contrairement à ce que laissent entendre certaines fins de Human Revolution, l’agent bardé de cybernétique est toujours vivant. Deux ans se sont écoulés après les événements tragiques de Panchaea, qui ont entraînés une vague de violence responsables de huit millions de mort. A défauts de savoir ce qui s’est vraiment passé, le grand public a trouvé ses boucs émissaires : les augmentés, ces humains dont le corps a été partiellement améliorer par le cybernétique. Désormais il y a une fracture entre les « augmentés » et les autres. Beaucoup d’augmentés sont ostracisés, voire parqués dans des ghettos. De son côté, Jensen travaille désormais pour une organisation dépendant des Nations Unies : la Task Force 29. Sa mission est de prévenir divers actes terrorismes notamment en relation avec les augmentés. Mais Jensen est également un agent double œuvrant pour le Juggernaut Collective, un groupe de hackers et activistes. En sous-main, il va les aider à traqué les Illuminati, dont il a appris l’existence lors de ses missions précédentes. Il va de soi que cette double allégeance va être une source de dilemmes pour notre héros. Devra-t-il risquer sa couverture ou faire passer la sécurité du monde avant tout ? Se rangera-t-il du côté des augmentés terroriste ou va-t-il les pourchassés sans relâche ? Autant de questions qui seront directement intégrés au récit qui promet de ne jamais être manichéen.
Tout au long de l’aventure, vous aurez à faire de nombreux choix pour Jensen. Et ils risquent d’être lourds de conséquences. D’ailleurs, si le principe des fins multiples est conservés, plus questions d’appuyer sur un bouton à la fin de l’aventure, puis de charger sa sauvegardes pour connaître toutes les conclusions possibles. Les fins dépendront de la totalité de l’aventure, et donc de certaines de vos décisions. Il faudra rejouer plusieurs fois à Manakind Divded pour toutes les explorer ! Ces interrogations sur le futur et la nature humaine s’annoncent passionnantes. Cependant, c’est du côté du gameplay que les nouveautés vont être les plus nombreuses. S’appuyant toujours sur un subtil équilibre entre différents composantes (infiltration, RPG, combat, exploration), la ligne directrice de cet opus consiste avant tout à améliorer ce toucher aux aspects les plus réussis d’Human Revolution. Ainsi, l’infiltration ou les interactions sociales seront sensiblement similaires au jeu précédent. En revanche, les combats sont métamorphosés. Plus fluides, plus variés et surtout plus spectaculaires, ils bénéficient d’améliorations visuelles comme des effets de particules ou la destruction partielle d’éléments de décor. Surtout, ils seront plus nerveux et agressifs notamment parce que les augmentations, ces capacités que Jensen développe en modifiant son corps avec la technologie, seront plus facile à utiliser. Un jeu qui promet de belles aventures !
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Voilà près de 10 ans que la License Need for speed se cherche pour finalement retrouver, en fin d’année 2015, son identité perdu : des courses de nuit en monde ouvert, des flics et une customisation poussée des véhicules. Toujours développée par Ghost Games (Need for Speed : Rivals, 2013), ce nouvel opus promet « la customisation de NFS : Underground dans le monde ouvert de NFS : Rivals » peu de doute à avoir sur l’intention : entre la tonne de modifications possibles et une zone de jeu annoncée comme deux fois plus grande que celle de NFS : Rivals, ce Need For Speed paraît prometteur. Reste à savoir comment Ghost Games et Electronic Arts rendront cet univers vivant et attractif. Courses classiques, épreuves du drift ou de vitesse sont déjà mentionnées. Electronic Arts parle également d’une histoire captivante faisant la part belle à la culture urbaine, en témoigne son partenariat avec le collectif de passionnés Speedhunters (notamment pour la sélection des voitures lors du développement). En mouvement, le titre dévoile d’ores et déjà une réalisation à la hauteur de nos attentes avec des bolides finement modélisés et des effets visuels réussis. On note par ailleurs que la caméra s’abaisse au niveau du sol, lors des dérapages, pour un rendu très spectaculaires, en espérant cependant que ce ne soit pas au détriment de la visibilité. Autre détail : l’intégration de cinématiques avec des acteurs réels rappelle l’époque où la série NFS faisait appel à des stars (Brooke Burke, Josie Maranr, Emmanuelle Vaugier…). On sclusivité PS4e croirait revenu dix ans en arrière et, ça, c’est bon signe pour un Need for Speed.
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C’est une avant-première que j’ai eu la chance de tester lors d’une beta fermé je vous en offre quelques sentiments ici. A travers cette exclusivité PS4, les développeurs semblent vouloir rendre un bel hommage au genre cinématographique du « Slasher »
Sous genre du fantastique, le slasher a toujours été bien représenté sur grand écran. A travers les sagas Vendredi 13, Halloween, Scream ou encore Souviens-toi… l’été dernier. Un lieu isolé, une bande d’adolescents délurés et un tueur fous : voilà le principe du genre donc Until Dawn s’inspire, à grands renforts de personnages archétypiques et de séquence de frousse plutôt bien agencées. L’histoire débute par la disparition tragique de deux sœurs au cours d’une nuit mouvementée dans un chalet de haute-montagne (celui qui dit What The cut je le biffle
). Un an après les amis présent lors du drame décide de se réunir à nouveau au même endroit, histoire de rendre hommage aux jeunes femmes. Mais la soirée ne se passe pas comme prévue, dès lors qu’intervient un tueur costaud arborant un masque de clown… Séance de spiritismes en groupe avec une planche d’ouija, exploration d’un sous-sol lugubre pour remettre en route le générateur électrique, course poursuite dans la neige émaillée de mini QTE avec une créature supposée monstrueuse… Le scénario caricatural sert de prétexte pour enchaîner, avec plaisir, de nombreuses situations référentielles faisant augmenter le taux d’adrénaline chez le joueur.Et celles-ci sont d’autant plus crédibles qu’elles sont interprétées très justement par de vrais acteurs, très bien modélisés. Parmi ces derniers nous retrouvons Hayden Panettiere, issue de la série Heros, Brett Dalton, vu dans Les agents du Shield, mais surtout l’excellent Peter Stomare (psychopathe dans Fargo) dans le rôle du Dr Hill, inquiétant psychiatre dont le bureau se décompose à chaque rencontre. Au fil de l’aventure, le joueur est amené à diriger les quatre personnages à la troisième personne quasiment chaque personnage, afin d’explorer les lieux dans le but de résoudre une situation donnée (trouver untel, aller à tel endroit) Mais il est aussi possible de se lancer à la recherche d’indice, (papier documents..) et de totems donc la couleur indique un évènement proche (rouge = danger blanc = chance). Lors des importantes séquences d’action ou de dialogues, le joueur doit aussi faire un choix entre deux propositions annoncé à l’écran qui orientent l’histoire et les affinités entre les personnages. Mieux, le fait de ne rien choisir aboutit parfois à un troisième scénario ! Ces embranchements divers du scénario ici sont appelés « effets Papillon » promettent donc de multiples fins. Et, en guise de gimmicks sympas, le jeu utilise la fonction Sixaxis pour manipuler les objets, il utilise aussi la PlayStation Caméra pour filmer le joueur lors des scènes d’angoisse qui font sursautés, bien vu !
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Un avis ? Pas de soucis j’en tire 4 points deux négatifs et deux positifs :+ Les codes du huis clos horrifique sont tous là et l’ambiance est au top !
+ Graphismes bluffants, y compris dans la modélisation des acteurs
- Impression parfois d’avoir trop peu de choix face à un film interactif
- Ca rame par moment et les persos sont un peu lourd à manier.
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Si vous étiez passé à côté de la série F1 ces dernières années, retenez seulement que la discipline n’avait rarement été aussi bien représentée en jeux-vidéo. Sans devenir une simulation ultra-réaliste réservée à une élite, elle a su retranscrire parfaitement m’essence de la Formule 1, avec de nombreux paramètres pour apporter de la stratégie en pleine course. Connaître les circuits sur le bout des doigts, régler sa voiture en fonction de son style de pilotage, utiliser un mélange rapide de carburant à certains endroit du circuit pour aller plus vite (mais au risque de se retrouver à SEC en fin de course
), adapter sa conduite en fonction de l’état du bitume, de ses pneus, des conditions météos évolutives ou du contexte… Autant de raison qui en font l’une des meilleurs séries auto de la génération précédente. Il y a bien eu quelques ratés (le online de la version 2012, l’édition 2014 paresseuse), mais les F1 nous ont rappelé de jeux de course. Et, finalement, on ne demandait pas grand-chose de plus sur les consoles next-gent mais manque de pot, F1 2015 en fait moins que d’habitude. On peut d’ores et déjà lister le contenu perdu : pas de création de pilote pour se lancer dans une Carrière au long cours, pas de coop ; à deux joueurs non plus, pas de mode entrainement, pas de défis, mais alors que reste-t-il du solo ? Du contre-la-montre (avec la possibilité Bienvenue de récupérer les fantômes de la communauté), la création de ses propres courses/championnats, la possibilité de jouer avec les voitures et les courses de la saison 2014, 2015 et un championnat officiel.Malgré l’effort de mise en scène (présentation des courses, des voitures, des podiums…) On regrette l’obligation de choisir des types d’expériences déjà paramétrés. Par exemple, le modèle « classique » (une course d’une quinzaine de tours) n’existe donc qu’avec des séances de qualifications raccourcies aller savoir pourquoi ! Il faut donc passer par le mode course rapide pour paramétrer l’expérience à sa guise. En plus de trahir un manque de temps et de moyens pour finir le jeu, ces errements dans l’interface font tache quand on sort de Project Cars et de sa liberté de paramétrage. Mais comme pour Forza Motosport 5, tout cela pourrait être oublié, si l’ambiance et le pilotage au sein d’une course répondaient aux attentes. Heureusement que oui, rien à redire la dessus, le cœur du jeu reste intact. La réglementation actuelle de la F1 rend la discipline moins spectaculaire mais, en l’état, F1 2015 se prend en main avec plaisir. Les sensations sont là, rehaussées par le 60/images par secondes, les pertes de grip en phase de ré accélération et les évolutions météo toujours aussi maîtrisées.
Toutefois, comme pour nous rappeler sa condition de jeu mal fini, F1 2015 dévoile une IA qui n’a jamais autant roulé sur un rail. Prêt à lui trouver un ultime intérêt, on se lance entre amis en multijoueur pour des parties endiablées, toutes les aides désactivées. La sauce tend à prendre jusqu’au moment où on réalise la présence d’un lag permanant, les joueurs ncesseur e voyant pas les mêmes situations à l’écran. Des défauts qui font énormément de tort aux excellentes sensations de pilotage de jeu. En attendant un quelconque patch ou l’édition de l’année prochaine, mieux vaut donc passer du temps sur Project Cars et commencer à s’intéresser à Forza Motosport 6 qui semble corriger les défauts de son prédécesseur !
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Mini test d’une tablette que j’adore la tablette Xperia Z4 TABLET :
Puisque l’on ne va pas caler dans sa valise sa console de salon ni son PC, il ne reste guère que la tablette pour jouer sur n écran grand format. Loin d’être un pis-aller, l’ardoise est l’un des meilleurs choix pour se divertir en mode nomade, surtout si on a la bonne idée de craquer pour un modèle aussi performant que la Z4. Jugez plutôt : écran 10,1 pouces en 2560 X 1600 pixels sur une dalle IPS, puce Snapdragon 810 aidée d’un processeur graphique Adrendo 430, 3 Go de RAM et 32 Go de stockage étendu au besoin grâce au port microSD. Autant dire que la dernière-née de Sony en a dans le ventre et le montre avec les jeux les plus gourmands du Google play. Aucun ralentissement sur des graphismes d’une fluidité et d’une finesse remarquable. Que vous soyez amateur de point’n’click au rythme lent ou de la frénésie de jeux de course ou des FPS, vous trouverez là une tablette à la mesure de vous ambitions.
Puisque nous sommes plongés dans les vacances, signalons que c’est un excellent lecteur multimédia, parfait pour visionner quelques saisons de vos séries préférées ou vous détendre en musique. C’est aussi un appareil photo d’appoint assez pratique dans des conditions de lumière favorable. Evidemment, la qualité a un prix et Sony ne manque pas de vous le rappeler. Avec 600€ à décaisser, puis les 180€ du clavier pour se donner bonne conscience en faisant semblant de travailler, on ne peut décemment pas parler d’un produit accessible à toutes les bourses.
Donc voilà c’est tout, j’espère que ce topic vous aura plus, j’ai pris pas mal de temps à l’écrire avec un style nouveau, je vous dit à la prochaine bisous
Fichiers joints
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